Sécuritéà la chasse, c’est l’affaire de tous La sécurité des chasseurs et des non chasseurs est le point fondamental qui guide toute action de chasse, au petit comme au gros gibier. C’est encore plus important dans un territoire péri-urbain comme le nôtre où les chasseurs côtoient de nombreux autres utilisateurs des espaces naturels.

Publié le 03/11/2017 à 1006, Mis à jour le 03/11/2017 à 1102 Après la tour Eiffel avant hier, le premier ministre Édouard Philippe s'est rendu à la gare du Nord à Paris aujourd'hui pour rassurer les Français deux jours après que la loi antiterroriste a remplacé l'état d'urgence et rappeler que "la sécurité est l'affaire de tous"."Nous savons parfaitement que le niveau de menace reste élevé", a déclaré Édouard Philippe entouré, du ministre de l'Intérieur Gérard Collomb et de la ministre des Transports Élisabeth Borne. "La sécurité c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre", a-t-il rappelé après avoir rencontré les policiers, gendarmes, agents de la sûreté de la SNCF et de la RATP."Les défis sont immenses mais le gouvernement, les forces de l'ordre, l'ensemble des opérateurs sont extrêmement mobilisés pour mettre des moyens humains supplémentaires, vérifier que le cadre juridique de notre action nous permet d'apporter des réponses claires et efficaces et c'est notamment le cas depuis l'adoption de la loi antiterroriste", a-t-il dit."Et puis au-delà des moyens humains et juridiques, et au delà même des moyens matériels, je redis l'attention que nous devons tous avoir, cette vigilance collective et pas simplement la vigilance des forces de l'ordre, car ils ne pourront répondre au défi immense du terrorisme que par une attention permanente et collective de l'ensemble des citoyens", a assuré le Premier ministre.» Lire aussi - À la Tour Eiffel, Édouard Philippe défend la sortie de l'état d'urgence Encas d’urgence, l’Ambassade de France au Qatar est joignable 7 jours sur 7, 24h/24h, au numéro suivant : + 974 66 84 50 83. Pour plus d’information sur la sécurité des Français à l’étranger consultez régulièrement la rubrique « Conseils aux Voyageurs » du site du MAEDI ou téléchargez l’application pour téléphones mobiles Association paritaire pour la santé et la sécuritédu travail, secteur "Administration provinciale" Recherche À propos Croyez-vous que la santé et la sécurité, c’est l’affaire des autres? Détrompez-vous! Pour bénéficier d’un milieu de travail sécuritaire, tous les travailleurs et les gestionnaires doivent connaître les différents enjeux en santé et sécurité du travail afin de collaborer ensemble pour trouver des solutions aux problèmes rencontrés. La prévention devient alors l’affaire de vous, de moi, de vos collègues, de vos gestionnaires, de votre ministère. Bref, elle devient l’affaire de tous! Objectif et déroulement Sensibiliser les participants sur les enjeux réels de la santé et de la sécurité du travail et les amener à adopter des comportements sécuritaires afin de bâtir une forte culture de prévention. Les conséquences potentielles d’un accident de travail ou d’une maladie professionnelle Les responsabilités des travailleurs et des gestionnaires L’adoption de comportements sécuritaires Cliquez ici pour faire une demande de service Vos conseillers Alexandre Côté Julie Forest Vous pourriez être intéressé par
Lasécurité est l'affaire de tous. En 2018, l’Université a renforcé la sécurité en créant un état-major directement rattaché à la Direction administrative et en introduisant un nouveau poste de responsable santé et sécurité. Trois mois après sa mise en place en mars 2018, le Rectorat validait le nouveau concept de sécurité qui
Sécurité/vigilance Publié le 08/01/19 et mis à jour le 11/04/22 Il est le garant d’un cadre de vie plus sécurisé. Retour sur le Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance qui s’est tenu le vendredi 9 novembre en salle du Conseil municipal. Trente personnes ont pris part au dernier Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance CLSPD qui s’est déroulé le vendredi 9 novembre. Chaque année, cette séance plénière réunit les acteurs de la prévention et de la lutte contre la délinquance et permet de faire le bilan des avancées en la matière. Présidé par le Maire, le CLSPD est une instance de pilotage et de concertation entre institutions et organismes publics et privés qui permet d’affiner la stratégie mise en place pour améliorer le cadre de vie de la commune en identifiant les différents phénomènes d’insécurité dans les transports, les établissements scolaires et dans l’habitat social. Ce dernier CLSPD a ainsi rassemblé la Vice-Procureur de la République au Parquet de Pontoise, la Commissaire de Police d’Ermont, les renseignements territoriaux, le Sous-Préfet d’Argenteuil, les bailleurs sociaux Domaxis, Batigère en IDF ex SOVAL, Val-d’Oise Habitat, Erilia et Osica, les chefs d’établissements scolaires, les cars Lacroix, la Mission locale de Val Parisis ou encore les élus Patrick Boullé, Jean-Hubert Montout, Sandrine Le Moing et Monique Mavel-Maquenhem. Pour la première fois cette année, l’institution Jeanne-d’Arc y était représentée. La sécurité est une priorité sur Franconville, c’est l’une des premières villes à avoir développé la vidéoprotection », a rappelé Patrick Boullé, maire-adjoint. Pour rappel, le parc vidéo de Franconville compte actuellement 39 caméras. Cette réunion annuelle est nécessaire et je félicite Franconville, précurseur en matière de prévention de la délinquance, pour la collaboration qui s’y fait à tous les niveaux et pour l’image d’unité que cela renvoie », appuie Philippe Malizard, Sous-préfet d’Argenteuil. Depuis 2015, la ville a pris des mesures fortes pour anticiper les nouveaux phénomènes de délinquance et les endiguer augmentation des effectifs voir encadré, armement de la Police Municipale en catégorie B1, augmentation de l’amplitude horaire des patrouilles municipales, création de la brigade motorisée en mai 2017 puis de la brigade équestre en mai 2018, renforcement de la collaboration entre la Police Nationale et la Police Municipale. Nous avons multiplié ces deux dernières années nos modes de déplacements pour améliorer la mobilité des agents dans le cadre de nos actions de prévention et également faciliter les interpellations, explique Patrick Boullé. Prévention, proximité et répression » La brigade équestre, au-delà de pouvoir aller partout, est un vecteur de communication avec la population. Elle permet de lutter contre les atteintes aux biens et de renforcer la sécurité aux abords des groupes scolaires. Nous sommes une vraie police de proximité au quotidien et luttons contre tous les sentiments d’insécurité. Nos trois mots d’ordre à Franconville sont prévention, proximité et répression. » Depuis 2014, le nombre de cambriolages a baissé sur la circonscription. La brigade motorisée mise en place en 2017 a, par ailleurs, permis de mettre fin aux rodéos sauvages. Le chef de la Police Municipale a également annoncé le renouvellement complet du système de vidéoprotection. Les caméras datent de 2011. Il est nécessaire que nous nous dotions de caméras dernière génération pour suivre au mieux les faits de délinquance. » En parallèle du CLSPD, la municipalité met régulièrement des groupes de travail en place afin de répondre aux attentes sécuritaires de chaque quartier et des différents partenaires. Des mesures ont également été prises dans les transports routiers STIF-LACROIX médiation, actions de sensibilisation, contrôles/verbalisation de la fraude, prévention situationnelle. De même dans les transports ferroviaires SNCF identification des groupes de perturbateurs, renforcement des opérations de contrôle par les différents services de police, mise en place d’un arrêté municipal anti-attroupement. Des actions de prévention sont proposées chaque année dans les écoles et les bailleurs sociaux travaillent en partenariat avec les services de Police et la Politique de la ville. Parce que, comme l’a souligné le maire, Xavier Melki La sécurité et la prévention de la délinquance relèvent de la responsabilité collective, c’est l’affaire de tous ». Augmentation des effectifs En 2015 13 agents + 8 ASVP En 2016 15 agents + 8 ASVP En 2017 19 agents + 6 ASVP En 2018 23 agents + 6 ASVP Prévision 2019 25 agents + 6 ASVP Le CSU inauguré Le Centre de Supervision Urbain CSU qui avait été transféré administrativement vers l’agglomération Val Parisis en 2015 a déménagé le 23 novembre au niveau de l’ancien site d’Arline où siège également la Police Mutualisée intercommunale. Pour rappel, le parc vidéo de Franconville compte actuellement 39 caméras. Un renouvellement des caméras nomades a été opéré l’année dernière et le parc des caméras fixes sera progressivement remplacé afin d’acquérir peu à peu des caméras de dernière génération. En 2019, vingt caméras supplémentaires vont être installées et un réajustement d’implantation sera alors envisagé en fonction des retours d’expériences. Le CSU est unique sur le territoire et permettra le visionnage de l’ensemble des caméras déployées dans les quinze communes de Val Parisis. Au total, près de 400 caméras seront installées sur l’ensemble du périmètre d’ici 2019, réparties sur des sites déterminés au préalable avec les acteurs de la sécurité par exemple aux abords des gares, des établissements scolaires et des commerces, dans les centres villes et les quartiers sensibles.

Ilest toutefois rassurant de constater que la gestion de la santé et de la sécurité au travail n’est pas forcément un exercice complexe! Des progrès considérables résultent souvent de mesures simples. Dans bien des cas, il n’est même pas besoin d’avoir des compétences particulières pour déterminer les risques et les contrer. D

Il ne peut plus avoir de clivage entre des acteurs étatiques et municipaux actifs, et une population à qui l'on demande de la passivité. L'époque nouvelle dans laquelle nous entrons nous oblige à impliquer la population et à la sensibiliser sur une vigilance utile. Le monde en général et la France en particulier sont rentrés dans une nouvelle ère celle de l'omniprésence de la menace terroriste. Ce changement de paradigme impose à chacun une implication forte de sa part. La sécurité des Français n'est pas l'affaire d'un seul acteur, mais elle repose sur la prise de conscience de tous. L'Etat d'abord, qui doit remplir à plein cette compétence régalienne. Pour ce faire, il est nécessaire de ne pas avoir peur de l'autorité, en interdisant par exemple certains rassemblements sur des places parisiennes qui mobilisent inutilement les forces de l'ordre. Nos forces de police et de Gendarmerie sont mobilisées au quotidien dans la lutte contre le terrorisme, elles seront encore une fois mise à rude épreuve pour assurer l'ordre public lors de l'Euro 2016 de football - notamment à l'abord des "Fan zones" - comment peut-on alors justifier qu'en plein Etat d'Urgence nous les mobilisions pour des rassemblements quotidiens de personnes davantage présentes pour casser que pour manifester pacifiquement ? Les maires ensuite doivent s'engager, et doivent avoir les moyens de le faire. L'armement des polices municipales est un prérequis, tant pour la sécurité des administrés que pour celle des agents. Cet armement devrait être, comme beaucoup le réclame à droite comme à gauche, généralisé. L'exception devrait être le refus du Maire et non pas sa demande. La période que nous traversons nous impose de la vigilance, du courage et de la responsabilité. Concomitamment à cela, l'élargissement de l'encadrement juridique relatif à la police municipale, sur les fouilles ou les contrôles d'identité, devra indéniablement suivre. Il en va de même pour l'interopérabilité des réseaux de communication entre la police municipale et la police nationale. Nous sommes en train de la mettre en place dans ma ville, mais je suis surpris qu'il faille faire tant de démarches pour un outil qui semble si logique... Pourquoi, une fois encore, n'est-il pas généralisé ? Il est absolument indispensable que le législateur en prenne conscience. Les maires doivent également agir pour trouver des dispositifs novateurs visant à toujours accroitre la sécurité de leur population. Dans la ville de Saint-Mandé, dans laquelle je suis maire, nous avons mis en place des "Kit détresse" qui ont été confiés aux directeurs d'écoles, de crèches et de lieux de cultes. Ces kits d'urgence comportent un "bip" qui envoie un signal d'urgence à la police municipale et à la police nationale lorsqu'il est activé par le détenteur, c'est-à-dire en cas de péril imminent. Dans une ville encore marquée par les attentats de l'HyperCacher qui se trouvait en face de notre place du marché, il était important de réfléchir à des dispositifs rassurants et efficaces. Enfin, je suis absolument convaincu qu'une sécurité efficace passe par l'implication des citoyens. Nous sommes tous acteurs de notre sécurité. Les maires peuvent être des catalyseurs en créant des dispositifs "Citoyens solidaires", comme nous l'avons dans notre ville. Des associations se proposent également de fédérer la population sur cette thématique, je pense notamment aux "Voisins vigilants". Il ne peut plus avoir de clivage entre des acteurs étatiques et municipaux actifs, et une population à qui l'on demande de la passivité. L'époque nouvelle dans laquelle nous entrons nous oblige à impliquer la population et à la sensibiliser sur une vigilance utile. Des formations au secourisme ou des explications sur l'attitude à avoir en cas de péril imminent doivent également être diffusées aux citoyens. L'idée n'est pas d'avoir des "super héros", mais des citoyens avisés, informés, vigilants, conscients, respectueux du bien commun et capables de réagir si besoin. Ce n'est qu'au prix de tous ces efforts que ceux qui tentent de faire planer la terreur subiront une double défaite Une défaite dans la réalisation de leurs actes, car les différents acteurs seront prêts. Une défaite dans la volonté de nous diviser, car l'ère que nous traversons doit nous rapprocher et développer une solidarité forte entre nous.

Lasécurité des aliments représente une responsabilité commune. Le 7 juin 2020, l’EFSA célèbre la deuxième Journée internationale de la sécurité sanitaire des aliments, aux côtés de ses partenaires nationaux, européens et internationaux, notamment les parrains de l’événement au sein des Nations unies : le Codex Alimentarius,
Bonjour à tous, Cet exercice a pour but de vous accompagner dans l'analyse de la consigne du sujet. Il vient compléter le document pdf mis en ligne sur la base Dissertation n°1 la sécurité est-elle l'affaire de tous?, semaine 1 analyse du sujet. Vous trouverez dans un premier temps une question vous invitant à réfléchir aux différentes composantes de la notion de sécurité. Dans un second temps, vous serez invités à classer les parties du cadrage en fonction de leur pertinence au regard de la question du sujet. Bon courage à tous!
Lasécurité de tous, c’est l’affaire de chaque citoyen 8 novembre 2017 - 6h00 La convention a été signée par les trois partenaires, la ville de Millau représentée par son maire, l’Etat en la personne du
Ah qu’il est bon de recevoir des nouvelles de ceux qu’on aime ! Surtout quand était sans nouvelle d’un être particulièrement cher depuis longtemps… Et depuis hier ouf » c’est bon ça va j’ai des nouvelles d’Alexandre Bénalla ! Alors non Bénalla et moi on n’est pas proches mais sans le savoir il m’a apporté tellement de matière pour écrire mes chroniques que pour moi c’est devenu un proche ! Alors qu’est ce qu’il devient ce cher Alex ? Et bien figurez vous que c’est Marcel Campion, le gentil forain mafieux homophobe qui lui a trouvé du boulot ! Bénalla va devenir consultant sécurité pour la foire du Trône ! Ah ben merde alors… J’en ai entendu des intitulés d’emploi fictif mais des comme ça c’est balaise non ? J’imagine les réunions avec Alexandre le consultant sécurité.. Bon les gars qui dit foire dit foule, qui dit foule dit agitation, qui dit agitation dit danger, qui dit danger dit mobilisation, qui dit mobilisation dit vigilance, qui dit vigilance dit matraque ! Règle n°1 Si vous voyez un rassemblement de plus de 5 personnes vous dispersez, si y a résistance vous matraquez Règle n°2 Si vous repérez des agitateurs, réaction immédiate vous prenez à la gorge et vous exfiltrez une fois le ou les individus exfiltré vous revenez à la règle n°1 vous matraquez ! Règle n°3 Vous apprenez les règles n°1 et n°2 par cœur ! En cas de problème - du style décès d’un individu matraqué - suite à l’application de la règle n°1 vous venez me voir immédiatement là je vous remettrais un passeport dit diplomatique » et vous pratiquez sur vous-même la règle n°2 l’exfiltration » Bon ben voilà on le sait, on ne sera pas du tout en sécurité à la foire du trône ! A tout moment on pourra se faire taper sur la gueule ! Autre sujet tout aussi grave ! Vous vous en souvenez surement en début d’année deux accidents d’avion avaient secoué l’univers des transports aériens. Deux accidents dans lesquels étaient impliqués des Boeing 737 Max ! Interdiction de voler pour ces appareils depuis mi-mars, gros manque à gagner pour les compagnies et le constructeur, du coup le constructeur a multiplié les enquêtes et hier tin nin » l’annonce de Boeing On a trouvé le problème de nos 737 y a un problème sur les ailes » Allo ? Un problème sur les ailes ! Tu construits des avions, tu vérifies pas hyper bien les ailes et tu te dis c’est ok ils peuvent voler » et faut deux accidents pour que tu vérifies que les ailes de ton avion sont OK ! La suite à écouter et à retrouver en vidéo !
Lasécurité, c`est l`affaire de tous. doc zz. Entrer ; Enregistrement ; Explorer . ×. La sécurité, c`est l`affaire de tous
Publié le 12/03/2003 à 0000 La sécurité c'est l'affaire de tous »... La direction départementale de la sécurité publique DDSP de Tarn-et-Garonne martelle actuellement ce slogan et tente d'en convaincre les jeunes en menant des actions de sensibilisation auprès des établissements scolaires tarn-et-garonnais. Lundi, les policiers étaient au lycée Montauriol. En avril, ils seront au lycée agricole de Capou... etc. Sécurité? Insécurité? Les policiers ont choisi de traiter plusieurs thèmes au contact des élèves les incivilités, les violences scolaires, familiales, urbaines, racket..., l'alcool et les produits stupéfiants, le civisme, le respect de soi et des autres, le rappel à la loi, le rôle et les missions des policiers. Depuis le début de cette année, les fonctionnaires de la DDSP ont décidé de privilégier le thème de la sécurité routière, sous l'angle de la consommation d'alcool et de l'usage des stupéfiants. A l'appui de leur action, les policiers soulignent que 26 % des accidents corporels concernent la tranche d'âge des 15/24 ans, et que la vitesse et le défaut de maîtrise, mais aussi le refus de priorité... et l'alcool, apparaissent comme les facteurs aggravant de cette accidentologie. Un message d'autant plus pertinent à délivrer aux jeunes tarn-et-garonnais que ce département pointe en sixième position sur les 95 départements français au niveau de la dangerosité de ses routes. ALCOOL, STUPEFIANTS Les élèves montalbanais ont reçu ou recevront au cours des prochaines semaines, un policier animateur et formateur anti-drogue. De la même manière ces élèves devraient se voir proposer une animation avec le simulateur de conduite de la DDE. Dans tous les cas, ces visites des forces de l'ordre dans les collèges et lycées de Montauban permettent de rappeler quelques constantes au service de la sécurité port de la ceinture à l'avant comme à l'arrière, port du casque sur les deux-roues, rappel des taux d'alcoolémie légaux, effets de l'alcool sur l'organisme, comportements liés à l'alcool... Au chapitre stupéfiants, sont passés en revue les grandes familles de produits et les effets qu'ils induisent, leur répercussion sur la santé mentale et physique du sujet, la vente et la consommation des produits stupéfiants... Autant d'éléments portés à la connaissance de ce jeune public qui, une fois informé, peut être en mesure de se prémunir... C'est là toute la philosophie de cette action lancée dans le département il y a deux ans. exemplaires et des tas de bons conseils La sécurité c'est l'affaire de tous » est aussi le titre d'un recueil diffusé à exemplaires auprès des établissements scolaires, des CCAS et de la fédération des aînés ruraux, de la CCI 1... Ce livret balaye une multitude d'aspects Les violences familiales et conjugales », qu'elles soient verbales, psychologiques, physiques, sexuelles, ainsi que les violences faites aux enfants, avec à la clé des numéros utiles... Le harcèlement ou le viol » avec là aussi des infos pour les victimes y compris mineures sur la conduite à tenir, étant entendu que sur ce type de faits, les mentalités ont évolué, au sein de la police qui prend mieux en compte la détresse des victimes, et de la part des victimes elles mêmes qui osent de plus en plus souvent, rompre le silence... Sécurité en milieu scolaire » avec quelques conseils de bon sens pour limiter les risques de vols et d'agressions et la conduite à tenir en tant que victime, ou en tant que témoins de faits graves qu'il convient de signaler... Personnes âgées, prévention et attention » avec dans ce chapitre, les précieux conseils de prudence visant à déjouer la ruse des voleurs à domicile, mais aussi l'action des malfaiteurs dans la rue, les personnes âgées étant fréquemment victimes de vols à l'arraché... Ce recueil aborde aussi la sécurité routière » avec un rappel du triste palmarès du Tarn-et-Garonne, 6e département français sur 95 en matière de dangerosité des routes, l'alcool » et la drogue » avec un rappel des numéros utiles offrant une prise en charge de la prévention et des soins... Il offre également de précieuses informations sur le cheminement d'une plainte... ______ 1Ce recueil très utile est également disponible à l'accueil des services de police et de gendarmerie de Montauban.
Lesendiviers emploient plus de 3 000 salariés dans les Hauts-de-France. Le respect des règles de sécurité dans l’entreprise est une priorité que tout chef d’entreprise doit savoir notamment anticiper.
Invité de l’émission “Ça se passe” de l’ORTM, le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, le général de division Salif Traoré, a rappelé l’importance de la bonne collaboration entre les populations et les forces de l’ordre pour maintenir la sécurité et la quiétude. Comme lui, les deux autres invités de l’émission, Pr Mamadou Samaké et Dr Mariam Djibrilla Maïga, ont insisté sur la coopération civilo-militaire. Mieux impliquer la population dans sa propre sécurité. C’est la stratégie privilégiée par le ministre de la Sécurité et de la Protection civile, général de division Salif Traoré. Samedi, au cours de l’enregistrement de l’émission “Ca se passe” de l’ORTM, il a invité les Maliens à plus d’implication et de collaboration avec les forces de l’ordre pour maintenir la sécurité dans les villes et les campagnes. Selon lui, depuis plusieurs années, son département œuvre pour une police de proximité efficace. En plus, le ministère a misé sur une bonne collaboration entre la population et les forces de l’ordre avec l’instauration d’un dialogue intra-communautaire et intercommunautaire, l’instauration des journées nationales de fête chez les forces de l’ordre pour faciliter le rapprochement avec la population, etc. “Nous devons savoir que les policiers, gendarmes, gardes ou pompiers sont de nos familles. Ils ne viennent pas d’un autre pays. Ce sont des Maliens qui savent que leur bonheur passe par celui de tous les Maliens. Nous sommes conscients des défis et des difficultés, mais nous devons travailler ensemble pour que nos forces soient efficaces”, a-t-il lancé, insistant sur l’importance de l’information. “Nous devons tous jouer notre rôle d’informateur et de vigile. Nous avons des numéros vert gratuit que tout le monde peut utiliser”, précise-t-il. Dans le cadre du plan de sécurisation intégré, rappelle le général, il y a quatre piliers sécurité, développement, gouvernance et communication. “ Dans le cadre du dialogue, pour la défense et la sécurité il nous a été demandé, à certains endroits précis, d’ouvrir des postes de sécurité et dorganiser des patrouilles dans ses endroits pour rassurer la population. C’est ainsi que des postes ont été créés dans la région de Mopti et à Ségou. Beaucoup de choses sont faites, même si nous continuerons à réfléchir. Car, il y a encore des actes d’insécurité qui cachent tous ces efforts consentis”. [A lire] LE GENERAL DE DIVISION SALIF TRAORE, MINISTRE DE LA SECURITE ET DE LA PROTECTION CIVILE Nos seuls objectifs trouver des ressources et des stratégies » Après avoir reconnu les efforts des autorités dans le cadre de la sécurisation, Pr Mamadou Samaké et Dr Mariam D. Maïga, ont demandé à la société civile de pleinement jouer son rôle de veille et d’informateur. “Il y a vraiment le besoin d’une prise de conscience au niveau national pour que tout le monde sache que nous n’avons que ce pays. Nous devons tous accompagner les forces de l’ordre et que ceux-ci aussi travaillent en respectant bien la déontologie”, a souhaité Pr Samaké. “Il faut aussi impliquer tous les leaders, les chauffeurs de taxi, etc, dans le processus d’information de la police”, propose Dr Maïga. L’émission “Ca se passe” est organisée par l’ORTM chaque mois pour informer les Maliens de l’actualité et des réalités du pays. Elle est animée par Mark Coulibaly. 20 octobre 2019
LaSST, c’est l’affaire de tous !? Ce guide vise à soutenir les milieux de travail pour la prise en charge de la santé et la sécurité du travail (SST) dans leur milieu de travail. Les mesures proposées doivent être adaptées par les différents secteurs à leurs spécificités pour garantir que les activités puissent reprendre ou continuer dans les conditions les plus sûres et les
Vous les avez vus surement sur les routes des vacances, ces panneaux jaunes à l’entrée des villages, avec cet œil au milieu qui vous fixe. Parfois noir, parfois bleu, Comme pour dire hé toi attention je te l’ai… à l’œil. La plupart du temps, désignés par le maire, citoyen volontaire, le voisin vigilant est censé rapporter à la police ou la gendarmerie, tous les faits qu’il peut trouver suspects. Les détracteurs parlent de délation, les promoteurs répondent pas du tout, nous créons du lien entre voisins. Alors que la sécurité promet d’être l’un des thèmes de la campagne présidentielle à venir, alors que le président Macron a appelé lui-même a une société vigilante. Voisins vigilants, la sécurité peut elle être l’affaire de tous ? Avec nous pour en parler Virginie Malochet, Sociologue à l’Institut Paris Région et chercheuse associée au CESDIP Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales ; Matthieu Valet, commissaire de police, porte-parole du Syndicat Indépendant des Commissaires de Police ; Thierry Chicha, Co-fondateur des Voisins Vigilants et Solidaires ; Juliette Méadel, Présidente du 1er groupe d'opposition à la mairie de Montrouge. Ancienne Secrétaire d’Etat chargée de l’Aide aux Victimes 2016-2017 Programmation musicale Relax, Rejjie Snow 2021 Les séquoias, Pomme 2021
Cest donc dans l’amphithéâtre de la Faculté des Sciences et Technologies de La Rochelle, plein à craquer que le préfet a réuni le 2 février, les élus, les « Responsables Sécurité », les professionnels de la route, les pompiers, les professionnels de la nuit et les éducateurs des jeunes de moins de 25 ans, les gendarmes, les policiers et Madame le
La sécurité, c`est l`affaire de tous n°21 PAGES SPÉCIALES Congrès Nantes 2012 ........................................... 7 > 11 Nouveau bureau exécutif ........................................................... 4 Infos congrès Beaune et régions ............................................. 5 PARTENARIATS AVEC L’ASTEE et L’AFE . ................................... 12 > 14 COLLOQUE AMF-ATTF NANTES 2012 Prévention des risques professionnels Les échanges ont été animés par Bruno LEPRAT, journaliste, et placés sous la présidence de Jacques PELISSARD président de l’Association des Maires de France excusé et représenté par Yves METAIREAU qui souligne l’intérêt du partenariat. Ce colloque a été l’occasion de nombreux et enrichissants échanges constructifs entre participants et intervenants. Ils ont, tant pour les élus que pour les techniciens contribué à la qualité de la séance. En ouverture Dominique MICHEL et Yves METAIREAU remercient les participants et mettent en exergue la nécessaire complémentarité entre les techniciens et les élus pour ce véritable enjeu que représente la mise en place d’une politique d’hygiène et de sécurité. Partenariats Colloque Nantes 2012 Retour sur le 44è congrès Infos congrès Bureau exécutif Édito Dominique MICHEL souligne que le couple technicien / élu doit permettre d’améliorer les situations. Ce colloque prolongeant les actions communes - se propose de faire le point sur les connaissances indispensables, les pistes d’actions envisageables et de prendre en compte l’expérience acquise, tant par les élus que par les techniciens - souvent agents de prévention et interfaces au quotidien entre les uns et les autres - les contraintes règlementaires mais aussi morales» et développer ainsi une ambiance porteuse de synergie de progrès dans nos collectivités. Collectivités responsabilité exposée ? Bruno Leprat Yves Métaireau Trois sortes de prévention Yves Métaireau, maire de La Baule, décrit les types de prévention recensés par l’organisation mondiale de la santé OMS > la prévention dite primaire», qui comprend tous les actes destinés à réduire les risques avant apparition et avant constat d’éventuelles conséquences. Cette prévention a pour but d’éliminer les risques à la source». > la prévention secondaire» qui, elle, comprend les actes destinés au dépistage des maladies en lien avec le travail, de préférence avant qu’elles ne se déclarent. Cette prévention veut aider les agents à faire face à l’exposition aux risques. Par exemple à La Baule, dans le cadre de notre réflexion sur le bien être et pour lutter contre les RPS en particulier, une assistance téléphonique psychologique» a été ouverte 24 h/24 pour écouter les agents sur le plan professionnel ou personnel». > la prévention tertiaire», enfin, qui comprend tous les actes destinés à limiter les effets des maladies professionnelles installées, à prévenir les rechutes» et à favoriser la réinsertion des salariés. Ce type de prévention est curatif, indique Yves Métaireau. Elle doit réduire et compenser les troubles dus à des risques que l’on n’a pas su ou pu éviter». Premier à ouvrir la réflexion, Luc Brunet, juriste à l’Observatoire SMACL des risques territoriaux, a indiqué que si la sécurité devait être considérée comme une priorité» dans les collectivités, leurs élus et managers devraient accepter qu’elle ait un coût formation des agents, matériel aux normes, organisation optimale du travail,etc». Il a ensuite signalé que la sécurité devait primer sur toute considération y compris les exigences de service public». À l’appui de son propos, une décision de tribunal correctionnel du 17 janvier 2004, jugeant que le principe de continuité de service public, mis en avant par une collectivité pour se défendre après la mort d’un de ses rippeurs lors d’une manœuvre de camion dans une impasse, n’implique pas que le service de ramassage soit assuré à la porte de chaque habitation et n’interdit pas que des regroupements soient aménagés». Après l’accident, a commenté Luc Brunet, la collectivité a ainsi décidé de ne plus desservir l’impasse et imposé aux usagers un point de ramassage au début de la rue». Enfin le juriste a recommandé aux collectivités, afin de ne pas voir leur responsabilité exposée, d’être intransigeantes» sur le respect des consignes de sécurité. L’employeur est tenu à une obligation de résultat. C’est dire qu’il doit fournir aux agents un matériel adapté et diffuser les consignes mais aussi s’assurer de leur effectivité». Et d’ajouter Si un agent ne met pas les équipements de sécurité à disposition, il doit être sanctionné. En cas d’accident, la collectivité pourra se retourner contre lui». Il conclut avec une recommandation préciser aux agents le Qui fait quoi» et le Qui est responsable de quoi». Cela nécessite de rédiger les procédures - et sortir de la culture de l’oral». Cela signifie aussi que la dimension sécurité» doit être intégrée dans les fiches de poste pour responsabiliser les acteurs». 8 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013 L’ATTF adresse ses remerciements à tous ceux qui ont permis la réussite de ces journées, et en particulier aux animateurs et intervenants. Dominique MICHEL et Jean Paul TRUFFY les intervenants Dominique MICHEL Président de l’ATTF Yves METAIREAU Président de l’association des maires 44, maire de LA BAULE Luc BRUNETSMACL-Assurances Xavier SEGUETTECentre de gestion 44 Johan LEONIDEGroupama Gisèle GOYAC Maire adjointe VERTOU Laurent BERNARD Agent de prévention VERTOU Propos recueillis par Bruno Leprat La sécurité, c’est l’affaire de tous !» Luc Brunet Édito Bureau exécutif Infos congrès Retour sur le 44è congrès Colloque Nantes 2012 Partenariats Xavier Seguette Technicien préventeur au CDG 44, Xavier Seguette a quant à lui, indiqué que la prise de conscience est l’étape qui déclenche actions et formations». Et d’expliquer ce paradoxe un accident grave est souvent déclencheur d’actions, or les collectivités sont sensées intervenir en amont pour que l’accident n’arrive pas, et c’est souvent parce qu’il est arrivé que l’on nous demande d’intervenir». Le préventeur suggère que cette prise de conscience soit collective». La sécurité est l’affaire de tous !» sachant que du salarié à l’élu, chaque strate est impliquée, l’autorité territoriale disposant en outre, de ressources ayant une mission spécifique assistants et conseillers de prévention, agents chargés de missions d’inspection, membres du CT/CHSCT, médecin - et à l’extérieur, du CDG bien sûr». Comment articuler ces compétences ? Xavier Seguette propose que l’autorité territoriale impulse et affiche clairement» sa volonté - cela sera plus efficace que le discours d’un agent qui se débat pour sensibiliser ses collègues» - et qu’une structure soit dédiée, outillée du document unique pierre angulaire de toute démarche», afin que la prévention reste un domaine dynamique parcouru de démarches et de projets». Le représentant du CDG, enfin, a décrit les effets d’un accident Tout le monde est perdant. La victime, qui souffre de douleurs, d’un trauma psychologique ou de handicaps de la vie courante ; les collègues, qui sont désorientés par l’événement, et lors de l’absence de l’agent, doivent faire son travail, ou accueillir un remplaçant ; la collectivité, qui est confrontée à des réorganisations dans un contexte tendu, au coût de l’affaire, voire à des suites juridiques, des frais d’avocat, une médiatisation négative, etc». Johan Léonide Pragmatique, Xavier Seguette conclut en précisant que si la prévention est urgente» à diffuser plus amplement dans la FPT, elle prend du temps pour que les agents comprennent l’intérêt d’appliquer ces démarches. Il faut donc ne pas être trop ambitieux, et y aller pas à pas» les agents y adhéreront d’autant plus facilement». Le document unique outil clé» de la prévention Johan Léonide, ingénieur prévention chez Groupama, a souligné, lors d’un point sur le document unique que c’est l’ outil clé» de la prévention, la criticité du sujet. Aujourd’hui, au regard du contexte, réglementaire d’une part, économique et social réduction des coûts et des effectifs dans la FPT, vieillissement des agents, etc. d’autre part, les questions de santé et sécurité au travail deviennent un sujet d’actualité ; je les décris même comme primordiales, tant en matière de préservation des ressources humaines» que comme levier d’amélioration des conditions de travail». Pourtant les collectivités peinent à se lancer dans des démarches construites et suivies. Johan Léonide estime nécessaire d’expliquer aux élus qu’ils ne sont pas seuls. Une démarche demande des initiateurs, du temps et des compétences. Mais les collectivités ont des alliés ! Elles sont entourées d’acteurs qui peuvent les aider et accompagner les CDG, le CNFPT, le Fond national de Prévention, mais aussi les assureurs ou des prestataires spécialisés ergonomes, consultants en management, psychologues du travail et experts des RPS, etc. Ces profils doivent être bien choisis. Un préventeur interne est un catalyseur» et son implication doit être forte pour faire passer les messages». Il préfère toutefois élargir son propos Un autre facteur est capital à mes yeux c’est l’implication. Elle est indispensable, du niveau le plus haut de l’autorité territoriale pour ancrer» les actions dans les objectifs de la collectivité aux agents qui vivent les risques au quotidien, et sont les mieux positionnés pour donner le point de vue opérationnel». Johan Léonide pointe pour finir l’importance des régulateurs d’une démarche préventive au sein des collectivités les ACMO, devenus assistants et conseillers de prévention» par un décret de février 2012. 9 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013 prévention des risques professionnels Expérience/Témoignage collectivité La ville de Vertou [22 000 habitants] se situe à quelques km de Nantes au sud ouest de l’agglomération et emploie 300 employés environ Parole d’élue > Gisèle Goyac Partenariats Colloque Nantes 2012 Retour sur le 44è congrès Infos congrès Bureau exécutif Édito Il s’agit d’un enjeu humain» Pourquoi défendre en interne ces postes d’assistants de prévention ex-ACMO, à l’heure où chaque collectivité s’interroge sur le meilleur emploi possible de ses ressources humaines ? Mais c’est la loi - et une bonne loi ! Depuis 2004, Vertou a deux agents assistants de prévention, et leur rôle est essentiel ; il est celui d’être à l’interface entre tous les rouages de la collectivité les élus, la direction générale, les encadrants, le service des ressources humaines et les agents. Ils sensibilisent à la problématique de la sécurité, donc à celle de la santé. J’apprécie leur vigilance pour explorer les causes des accidents, afin qu’ils ne se renouvellent pas, et en anticiper d’autres. De cette vigilance et de leurs analyses dépen- dent des aménagements de postes, des achats d’équipements ou la remise en cause de notre organisation auxquels je consens très volontiers. Quel message êtes-vous venue passer» aux techniciens territoriaux et à vos collègues élus présents à Nantes ? Je voulais témoigner de l’importance de ces questions de sécurité, afin qu’elles entrent ou perdurent dans les préoccupations des employeurs publics territoriaux. Il s’agit d’un enjeu humain, afin de prévenir les risques de tous genres, comportementaux et psycho-sociaux en particulier qui sont un genre croissant. Mais cette préoccupation sécuritaire» comporte aussi un enjeu financier. Moins d’accidents, cela se traduit sur l’absentéisme, donc sur l’efficience de notre collectivité - et en cela, cette préoccupation interne rejoint la gestion intelligente des fonds publics que nous devons à nos concitoyens. De quelle action passée ou de quel chantier en cours êtes-vous la plus fière ? Je ne veux pas isoler une action, car c’est la dynamique d’ensemble qui doit être soutenue, sa cohérence mais aussi les résultats qu’elle engendre forcément. Le travail est partenarial le Centre de gestion, la médecine du travail, tous les services ont contribué à la mise en place de notre document unique. Ce document est une étape clé dans l’appropriation d’une démarche par chaque agent, chaque chef de service. La sécurité est une chaîne, et tous les agents la composent. Le document unique invite à l’analyse des risques, à des actions correctives mais aussi à une prise de conscience que la santé au travail est un droit, et que la garantir appartient à une politique durable des ressources humaines. riches échanges entre intervenants et participants 10 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013 COLLOQUE AMF-ATTF NANTES 2012 Parole d’ACMO Bien connaître les métiers de la collectivité Laurent Bernard est assistant de prévention ex-ACMO à Vertou. Nommé en 2004, il est en charge par ailleurs de la location des salles de la commune. Il témoigne de sa fonction Comment aurait-on pu l’éviter ? Telle est la question qu’un assistant de prévention AP, lorsqu’un accident survient, se pose et se re-pose». Laurent Bernard Gisèle Goyac Édito Bureau exécutif Infos congrès Retour sur le 44è congrès Colloque Nantes 2012 Partenariats C’est une fonction sensible que celle d’AP, très suivie - en principe - par les élus et les managers, également proche des agents. Il faut être volontaire, et je vois des collègues qui ont été nommés contre leur gré. Rien ne suivra la loi est respectée, mais sur le papier ! Cest aussi une fonction exigeante, qui demande de connaître les procédures et les métiers. De savoir écrire des synthèses et argumenter. D’être curieux. Et de susciter la confiance des agents. Car ils vont beaucoup nous voir, et parfois, nous troublerons leurs habitudes. Des fiches et des stages Si des élus ne sont pas convaincus de la nécessité d’une prévention, ils bloqueront toute décision équiper tels agents, modifier telle organisation, etc. Ce qui les sensibilise ? La peur d’être pris pour responsable d’un accident, bien sûr. Mais je crois plus à l’argument du bien-être des agents en sécurité, travaillent mieux et partent moins en congés maladie. C’est aussi un argument pour des élus employeurs. en tribune Je ne suis pas pour autant l’encyclopédie» de l’hygiène et la sécurité. Nous avons des stages, des fiches adressées par le CDG. Exemples de thèmes les nuisances sonores, travailler en hauteur ou élaguer en toute sécurité. À moi ensuite, de voir dans les services où réside le risque, et d’amener les agents à procéder autrement. Ce ne sont pas forcément des dépenses matérielles. Réorganiser une tournée de ramassage de poubelles ne coûte rien». en salle Pour en savoir plus... 11 Lettre T - numéro 21 - janv. fév. mars 2013

Malestroit La sécurité, c’est l’affaire de tous. A Malestroit (Morbihan), en ce début de saison estivale 2022, gendarmerie et police

Article réservé aux abonnés Mardyck. - Chaque année, plus de soixante salariés sur mille sont victimes d'un accident du travail. Les statistiques font état d'une lente diminution de ces accidents, notamment dans la sidérurgie, bien que les progrès restent lents. Sauf dans certaines usines comme celle d'Usinor-Mardyck Nord où le problème a été pris à bras-le-corps. A l'atelier " laminoirs ", on en est aux huit cent treizième jours sans accident. Au décapage, on a enregistré vingt-six mille heures de travail sans déplorer un blessé. Les affiches renouvelées chaque jour par les salariés sont là pour rappeler que l'usine s'est lancée dans une vaste campagne de sécurité qui porte ses fruits. Pour la troisième année consécutive, l'établissement a reçu la " coupe de la sécurité " décernée par la société. Affichage, campagne d'information, du médecin du travail à l'agent de maîtrise en passant par les salariés, la sécurité est devenue à Mardyck " l'affaire de tous ". La direction a tout d'abord organisé des " cercles de sécurité ". Plusieurs dizaines de réunions ont ainsi sensibilisé les ouvriers. Les campagnes se sont succédé, sur le bruit et l'alcoolisme par exemple. Les cercles de qualité et les groupes d'expression ont favorisé la prise de conscience sur la sécurité. Chaque accident fait d'autre part l'objet d'une enquête approfondie au cours de laquelle les causes sont exposées et les témoins entendus. " La sensibilisation des salariés à la sécurité est un véritable travail de fourmi, souligne Mme Brigitte Marc, médecin du travail à Usinor-Mardyck. Les salariés s'habituent au danger et le négligent. " Les résultats n'ont pas tardé à se faire sentir la moyenne nationale du taux de fréquence des accidents avec arrêt de travail était de 66 pour 1 000 en 1982, selon la caisse nationale d'assurance-maladie, la sidérurgie française était à 65 et Usinor à 44 pour 1 000. En 1983, le taux de fréquence des accidents à Usinor était tombé à 34 pour une moyenne nationale de 62. A Mardyck, les résultats sont encore plus spectaculaires sur mille six cents salariés cent quatre-vingt-deux accidents ont été enregistrés en 1974, soixante-quinze en 1980, vingt-quatre en 1984. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

Enréalité, la sécurité est l’affaire de tous : chacun est responsable de sa sécurité et de celle des autres. Détaillons. Quelques chiffres. En 2014, 540 salariés ont perdu la vie au travail. Les CPAM ont enregistré 570 000 accidents du travail ayant entraîné un arrêt de travail de quatre jours et plus.

vendredi 30 septembre 2016 La restructuration ou la stratégie de la privatisation rampante Les cheminots ne comptent plus les plans de restructuration, qui se sont succédés ces dernières années. D’un statut unique il y a une trentaine d’années où la SNCF constituait un seul EPIC Établissement Public Industriel et Commercial ; à la création de RFF Réseau ferré de France en 1997, ayant conduit à la séparation de l’exploitation et de l’infrastructure, 2014 aura fait naître l’une des réformes ferroviaires les plus importantes de par l’éclatement du groupe en trois EPIC SNCF, SNCF réseau et SNCF Mobilités. Sans compter la multitude de filiales de droit privé qui compose aujourd’hui le parc visuel du groupe dans son ensemble, conduisant à la transformation volontaire du statut de cheminot, obtenu avec combativité et détermination, mais considéré par la direction de la SNCF comme étant le frein principal au développement de l’activité ferroviaire. Depuis quelques années, chacune des activités du groupe SNCF a des comptabilités séparées Infra, Traction, Gare, Fret,…, permettant ainsi la séparation des Branches Ferroviaires » les plus rentables, de celles beaucoup plus pauvres. La dernière réforme en date ayant accentué la mise en concurrence entre gares, entités du même métier. Les filiales de droit privé, tout comme leurs sous-filiales, créées volontairement par le groupe, tendent à réduire les coûts de production en tirant par le bas non seulement les salaires mais également les conditions de travail. C’est en ce sens qu’on entend régulièrement parler de dumping social ». En effet, la SNCF organise sa propre concurrence en interne, faisant travailler des salariés dépendant du droit privé à des conditions plus avantageuses pour l’entreprise mais nettement moins pour les salariés. Les cheminots, n’étant pas dupes de cette pratique répandue, se sont non seulement battus lors des derniers mouvements sociaux pour la défense de leurs conditions de travail, mais aussi pour la généralisation de leur statut à l’ensemble des salariés embauchés par des filiales régies par le droit privé. Ce message primordial d’une lutte visant l’amélioration des conditions de travail de l’ensemble, a volontairement été étouffé par la classe politique, les médias traditionnels à leur botte, tout comme certaines directions syndicales. La stratégie du clientélisme au détriment du service public La réorientation stratégique de l’entreprise vers plus de rentabilité et de profit entraîne une transformation fondamentale dans l’organisation du travail et la qualité du service apporté aux usagers. La sémantique a son importance en pareilles circonstances l’usager reste bien la préoccupation principale du cheminot quand la direction ne voit plus en lui qu’un simple client. Exemple de cette démonstration, les TER circulent aujourd’hui de plus en plus sans agent d’accompagnement sous prétexte que la fréquentation des lignes ne justifie plus la présence d’un personnel humain à bord, et arguant de la mise en place d’un système automatisé qui fait de l’unique conducteur l’acteur polyvalent devant faire face à toutes les situations. On comprend aisément les conséquences qui en ressortent pour l’usager, n’ayant plus d’interlocuteur direct en relation avec les fonctions de sécurité ferroviaire, d’information et d’assistance aux voyageurs. De même que le conducteur seul sera dans l’obligation d’effectuer de multiples tâches, de même le voyageur sera dans l’impossibilité d’obtenir en temps utile toute information et aide nécessaires dans le cadre de son voyage. Guillaume Pepy – directeur du groupe depuis 2008 - ne s’en est pas caché en affirmant qu’un conducteur pourrait à terme vendre des billets de train, dans l’objectif de tendre vers toujours plus de flexibilité au détriment de la qualité. La profession même de conducteur est menacée par le progrès de la robotisation, conduisant dans un futur proche à voir apparaître des trains autonomes ne nécessitant plus leur présence en cabine. Ce projet étant déjà d’actualité en Allemagne, qui envisage de faire circuler des trains autonomes dès 2021, Guillaume Pepy n’a pas formellement démenti la faisabilité de ce même processus en France, tout en restant réservé sur cette question, par crainte sans doute d’attiser la colère syndicale vu le contexte de tension sociale actuel. Les salariés de la SNCF et les usagers pâtissent tous deux des décisions prises par une direction dont l’objectif premier est de favoriser la rentabilité à n’importe quel prix. Notons également l’apparition depuis quelques années, au sein même de l’entreprise, d’une présence en constante augmentation de sociétés privées attitrées à la réalisation des travaux de maintenance de la voie, entraînant retards, dysfonctionnement et incidents. Ainsi, même le savoir-faire inhérent à la SNCF en matière de travaux et maintenance se retrouve confronté à cette logique libérale d’économie drastique. Et la sécurité dans tout cela ? La forme du combat mené par les cheminots en interne ne doit pas avoir de logique corporatiste. Force en est, bien qu’ayant été freinée par la politique des directions, la volonté de faire converger la lutte des cheminots avec celle plus générale contre la loi Travail, révélatrice de cet esprit d’émulation commune encouragé et entretenu par la base. Le souci premier consistant à défendre, par le biais de leur statut, celui plus général du statut de l’ensemble des travailleurs du secteur ferroviaire, public et privé confondus. Ce qui semblerait nous éloigner de prime abord, cheminots d’un côté, et usagers de l’autre, en vérité nous rapproche nous sommes toutes et tous des usagers. Nous souhaitons toutes et tous voyager en toute sécurité et cela constitue une réalité non négociable. En ce sens, il convient de nous faire confiance les uns les autres, de balayer les rumeurs et propagandes volontairement relayées par les médias qui voudraient opposer le cheminot à l’usager, et de comprendre que nous avons des intérêts communs, à savoir assurer un service public de qualité en toute sécurité. Ce qui nous différencie se situerait dans notre connaissance interne de l’entreprise, des conséquences de ces politiques de rentabilité qui défont chaque jour un peu plus la qualité du transport ferroviaire. Les combats que nous menons en interne contre notre direction, nous les menons également pour les usagers puisque à l’inverse de nos dirigeants, nous considérons la notion de Service Public comme une priorité, tandis qu’eux vous regardent sous l’œil rapace du client à qui l’on vend une prestation, ni plus ni moins. La catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge en est l’illustration parfaite. Quid de la responsabilité avérée de la SNCF quant au défaut de maintenance de la voie, pourtant mis en lumière par l’expertise judiciaire et auquel Guillaume Pepy tente expressément de soustraire toute responsabilité de l’entreprise. Cette chronique d’une catastrophe annoncée est l’illustration tragique de cette politique de rentabilité mise en place par la direction, dont les usagers subissent aujourd’hui les conséquences. Immoralité des dirigeants d’autant plus importante, devant la difficulté, voire l’impossibilité, de faire condamner de grands groupes lorsque de tels drames se produisent. La réciprocité n’étant pas de rigueur puisque le 27 octobre, Arnaud, cheminot et délégué du personnel, s’est vu condamné en première Instance par le tribunal d’Amiens à 6 mois de prison avec sursis et des dommages et intérêts s’élevant à 67 000€ pour des faits relatifs au droit de grève. Impunité d’un côté et répression de l’autre. De par cette lettre ouverte aux usagers, notre objectif est de continuer à faire valoir la défense des acquis sociaux des cheminots, de la classe ouvrière dans son ensemble et des usagers. Pour cela, il nous a paru indispensable de renouer le dialogue avec les préoccupations de millions d’usagers qui utilisent quotidiennement le transport ferroviaire, en leur proposant des revendications communes pour défendre ce service public essentiel. Un programme qui démasque à la fois l’hypocrisie de celles et ceux qui se vantent de vouloir assurer un service de qualité, Guillaume Pepy et sa bande, et qui au final ne cherchent que le profit, comme l’a démontré dernièrement le projet du Tram-Train 11, exploité par une sous-filiale de droit privé de la SNCF, au détriment des conditions de travail des cheminots et de la sécurité des usagers. Pour défendre ce bien commun jusqu’au bout, il sera indispensable d’agir en solidarité. Seuls les cheminots et les usagers seront en capacité de proposer un service de transport ferroviaire de qualité et en toute sécurité, en concentrant les moyens de production des chemins de fer sous leur propre contrôle, puisque ce sont les cheminots eux-mêmes qui ont les connaissances techniques requises à ce titre, en lien direct avec le principal intéressé, l’usager. Ne nous trompons pas d’adversaire, tous ensemble, nous luttons et combattons les mêmes logiques de rentabilités capitalistes.
Lasécurité, c'est l'affaire de tous ! Le saviez-vous ? 70% des accidents impliquant un engin de manutention pourraient être évités avec une formation et des mesures de sécurité adéquates.

Par Jean-François LafittePublié le 07/09/2017 à 3h42 Sans sécurité, pas de pacte social ! La sécurité est un élément de l’attractivité d’un territoire, mais elle a un coût. Ensemble, continuons à rester vigilant », a déclaré, jeudi soir, à Labenne, le sous-préfet, Lucien Giudicelli, en guise de conclusion à la réception de tous les acteurs de la sécurité estivale. Organisé tous les ans par la municipalité au dernier jour du mois d’août, ce moment d’échange et de partage permet de dresser les premiers bilans de l’été. Comme à Capbreton, la veille, le capitaine de gendarmerie a apprécié le renfort saisonnier de 70 gendarmes, dont huit dans la commune de Labenne. Il n’a pas été en mesure de fournir un premier bilan chiffré, qui fera toutefois apparaître un accroissement des affaires judiciaires au vu d’une fréquentation en hausse, notamment durant le mois d’août. Il s’est félicité que les huit gendarmes en présence aient permis de répondre aux différentes sollicitations de la son côté, le commandant Piet, représentant le centre de secours, n’a pas souhaité s’exprimer, le bilan définitif n’étant pas encore arrêté. Seuls les trois CRS et les sept maîtres nageurs civils ont donné une copie chiffrée de leur bilan. 390 interventionsEn revisitant la plage labennaise au cours de l’hiver, l’océan a joué en leur faveur. Les grandes marées hivernales ont, en effet, aplani la grève, ce qui a eu pour effet la suppression des rouleaux de bord si dangereux. 390 interventions auprès de baigneurs ont été recensées, dont 20 ayant entraîné une évacuation. À ces chiffres, s’ajoutent 450 petits soins, un procès-verbal pour exhibition et une affaire judiciaire qui aurait pu se terminer de façon dramatique sans la vigilance des CRS. Le moment venu, le maire, Jean-Luc Delpuech, a remercié l’ensemble des acteurs pour leur action et leur a donné rendez-vous pour une nouvelle saison, au cours de laquelle l’accueil de la gendarmerie sera amélioré. D’ici là, la saison se poursuit jusqu’au 17 septembre sur la plage et bien plus tard ailleurs, avec l’espoir que l’été indien sera clément, pour la plus grande satisfaction des nombreux vacanciers encore attendus.

Lesprincipaux facteurs sont le non-port de la ceinture de sécurité soit 81 %, vitesse excessive ou inadaptée + 68 % et puis présence

Body Afin de développer en interne une culture de la santé et de la sécurité, le groupe coopératif Axéréal implique aujourd’hui l’ensemble de ses équipes dans une ambitieuse stratégie de prévention des accidents professionnels. Des silos de grains aux moulins, des usines de production d’aliments pour animaux aux malteries, c’est l’ensemble des entités d’Axéréal qui font aujourd’hui de la protection des salariés et des parties prenantes adhérents, clients… une priorité. Assurer la sécurité des femmes et des hommes qui travaillent au sein d’Axéréal est un prérequis pour l’ensemble de nos activités, affirme Romain Gallas, administrateur Axéréal. C’est pour cela que nous cherchons être proactifs sur le sujet ». Pour porter une telle ambition, une politique sécurité notamment a été mise en place il y a trois ans. Impulsée par la Direction, elle a permis de placer le sujet au rang des priorités stratégiques d’Axéréal. Un vrai élan a été donné », confirme Sébastien Richomme, responsable sécurité du pôle Agriculture & Filières. La sécurité est réellement l’affaire de tous, et l’élan porté se retrouve donc à tous les niveaux du groupe coopératif. Des points sur la sécurité sont par exemple régulièrement réalisés lors des comités de direction. Un comité sécurité réunit par d’ailleurs une fois par mois les directeurs de chaque Business Unit BU du pôle Agriculture & Filières chaîne du grain, meunerie, élevage. Cela permet des échanges constructifs sur les difficultés rencontrées, les démarches de progrès à mener… », poursuit Sébastien Richomme. Un partage des bonnes pratiques peut également être réalisé. Une dynamique proactive que l’on retrouve également chez Boortmalt, activité malt du groupe Axéréal. Chaque accident est évitable » La question de la sécurité est abordée au quotidien sur le terrain, grâce à un important travail de communication. Des animateurs sécurité terrain sont là pour aider les managers de proximité à avancer sur le sujet. Nous devons convaincre 100 % de nos collaborateurs que la sécurité est un prérequis à toute action. Il faut qu’ils aient conscience de l’importance de cette question et aient envie de se protéger », explique Sébastien Richomme. Pour accompagner la démarche, différentes initiatives ont été prises. C’est le cas par exemple de rituels comme les 5 minutes sécurité ». Plusieurs fois par semaine, les responsables locaux présentent le travail du jour à leurs équipes, les risques qui y sont liés et les moyens de s’en prémunir. Formations et sensibilisations sont par ailleurs régulièrement proposées pour permettre aux collaborateurs de développer les réflexes nécessaires à leur protection et celles des parties prenantes mesures de protection, signalement de toute situation à risque…. Des Rencontres sécurité terrain ont également été instituées pour améliorer les comportements du quotidien voir ci-dessous. La politique sécurité du groupe s’appuie sur un principe fondamental chaque accident est évitable. Pour preuve, l’expérience rappelle que la majorité de ces accidents sont imputables à l’organisation au comportement des personnes en présence. La communication portée par Axéréal met notamment l’accent sur les bonnes pratiques à adopter face à cinq risques majeurs les chutes de hauteur, les interventions en cellules, l’utilisation des engins de manutention chariots élévateurs…, les risques routiers et la question des troubles musculosquelettiques lombalgie, entorse…. En s’appuyant sur une sensibilisation au long cours des équipes mais aussi sur une analyse rigoureuse des incidents survenus, le groupe poursuit ainsi un objectif ambitieux le zéro accident. Des Rencontres sécurité terrain pour développer les bonnes pratiques De la farine au sol qui risque de faire glisser un collaborateur, un sac mal porté qui peut fragiliser le dos d’un salarié… Dans leur quotidien professionnel, les collaborateurs ne perçoivent pas toujours les risques induits par certaines situations. Tout l’objectif des Rencontres sécurité terrain est là détecter les comportements à risque, et réduire ainsi les accidents, en apportant un œil neuf sur des situations de travail. L’œil neuf, c’est celui porté par deux membres de l’encadrement qui vont étudier avec attention le travail d’un salarié, dans un esprit collaboratif et bienveillant. Après une dizaine de minutes d’observation, un dialogue constructif va se nouer sur le mode opératoire du collaborateur, afin de déterminer d’éventuelles pistes d’amélioration. Le port des EPI Equipements de protection individuelle a-t-il été respecté ? L’échelle utilisée était-elle la plus adaptée ? La zone de travail a-t-elle été nettoyée au bon moment ? Autant de points d’attention qui pourront être évoqués afin de faire progresser la sécurité sur le site et servir au plus grand nombre. Après avoir été lancées dans la branche Agriculture d’Axéréal, ces Rencontres ont été déployées au sein d’Axiane Meunerie en 2021. 200 collaborateurs de terrain bénéficient désormais deux fois par an d’une telle initiative, explique Laurent Gandouin, directeur industriel & supply chain chez Axiane Meunerie. 80 % de nos accidents sont liés à des chutes de plain-pied ou des ports de charge. Des bonnes pratiques peuvent permettre de les éviter. Nous disposons avec ces rencontres d’un bon moyen pour agir en ce sens ». Chaque rencontre permet aux collaborateurs de prendre quelques engagements simples pour faire progresser leur propre sécurité. La question des accidents est le plus souvent liée à une prise de conscience des risques », rappelle Laurent Gandouin. Dans le même temps, le manager peut relever quelques aménagements de postes à réaliser pour prévenir certains accidents, comme par exemple l’installation d’aspirateurs à chaque étage d’un bâtiment ou la mise en place de rangements dédiés aux outils du collaborateur ». Boortmalt une malterie construite sans aucun accident en Ethiopie Des réflexes de sécurité doivent être développés dans les actions du quotidien des collaborateurs du groupe. Mais il est également essentiel qu’ils soient adoptés dans le cadre de chantiers d’exception portés par la coopérative. C’est ce à quoi s’est attaché Boortmalt, le pôle malt international d’Axéréal, lors de la construction de sa première malterie africaine, en Ethiopie, entre 2018 et 2021. Située dans le parc industriel de Debre Birhan, cette unité de production a été édifiée en faisant de la sécurité et de la santé des travailleurs présents une priorité centrale. Pour porter cette ambition, nous nous sommes assurés d’avoir un responsable de la sécurité présent sur le chantier dès le premier jour de construction, et nous l’avons intégré durant toute la phase opérationnelle, explique Mauricio Corsi, Responsable sécurité, santé et environnement chez Boortmalt, filiale malt du groupe Axéréal, ce responsable sur place a accompagné la création de se site, en insufflant la culture de la sécurité Boortmalt ». De même, un suivi scrupuleux des mesures de santé et de sécurité en vigueur au sein du groupe, valant à l’échelle internationale, a été instauré. Elles ont été respectées en prenant soin, dans le même temps, de tenir compte des enjeux locaux. L’ensemble des mesures prises nous a permis de construire cette usine sans qu’aucun accident ne soit à déplorer », se satisfait Mauricio Corsi. Désormais opérationnelle, la malterie éthiopienne offre une capacité de tonnes, approvisionnée par des agriculteurs locaux.

Lasécurité routière c'est l'affaire de tous. Comme il l’avait fait en 2021, le Conseil départemental a décidé de renouveler son soutien financier aux projets relatifs à la sécurité routière émanant d'association, de collectivités territoriales, ou d'établissements d'enseignement (collèges).
Les spécialistes de la cybercriminalité se réunissent cette semaine à Monaco avec pour ambition d'étendre à l'ensemble de la population les comportements et réflexes qui permettront de mieux résister à des pirates informatiques de plus en plus audacieux. Mis à jour le 3 oct. 2016 Se protéger, ça passe par des règles», explique à l'AFP le directeur général de l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information Anssi, Guillaume Poupard. Il y a des règles de conception des systèmes, des règles d'administration de ces systèmes, des règles de gouvernance, des règles de comportement de la part des agents... Quand vous appliquez toutes ces règles et que vous le faites proprement, ça ne garantit pas une sécurité à 100%, mais il n'y a plus grand-chose qui passe», estime-t-il. Le propos peut paraître bien optimiste, alors qu'on apprend tous les jours ou presque que des cybercriminels arrivent à se promener dans des systèmes informatiques les plus divers, volent des fichiers, détournent de l'argent ou menacent de tout bloquer. Au sein des entreprises, il y a évidemment un responsable de la sécurité des systèmes d'information il est indispensable, mais pas suffisant. L'idée, c'est vraiment de se dire que chacun est acteur de cette cybersécurité le PDG, le directeur juridique, le directeur financier... Chacun a un rôle à jouer», souligne-t-il. Y compris l'intérimaire, généralement oublié dans les procédures, alors qu'il a souvent accès aux systèmes. Pas étonnant, dans ce contexte, que les Assises de la sécurité et des systèmes d'information soient de moins en moins une réunion de spécialistes. Quelque 2500 personnes y sont attendues de mercredi à vendredi, à Monaco. La menace reste des plus sérieuses, d'autant que le problème de la sécurité informatique a longtemps été négligé. L'État a identifié plus de 200 opérateurs d'importance vitale OIV, privés et publics, qui exploitent ou utilisent des installations jugées indispensables pour la survie de la Nation». La loi de préparation militaire les oblige désormais à suivre toute une série de règles très strictes pour faire face à la menace cyber, sous la surveillance de l'Anssi. Rendre les attaques publiques Et pour les autres? Rien d'obligatoire, pour l'instant, mais du bon sens. Il y a des chefs d'entreprises qui viennent me voir pour me demander ce qu'ils doivent faire, alors qu'ils ne sont pas des OIV», raconte Guillaume Poupard. Et bien, la même chose!» Les entreprises devront de toute façon réagir parce qu'une directive européenne va les obliger en 2018 à rendre public tout vol de données personnelles. Or, jusqu'à présent, la plupart d'entre elles préfèrent garder secrètes les attaques dont elles font l'objet. Pour des raisons d'image, et aussi, note pour mieux réagir face aux pirates. On va voir le vrai visage de la sécurité des sociétés françaises, et ça va faire peur», prédit Jérôme Robert, responsable du marketing chez Lexsi, une société spécialisée tout juste rachetée par Orange. Le plus souvent guidés par l'appât du gain, mais aussi par des motivations idéologiques, les cybercriminels s'introduisent au coeur du système des entreprises, généralement en passant par les ordinateurs de certains employés. Et pour approcher lesdits employés, on leur fait ouvrir des pièces jointes par courriel, on les envoie cliquer sur des pages web vérolées ou on leur met entre les mains une clef USB corrompue. Une fois dans la place, les pirates peuvent tranquillement piller les ressources de l'entreprise attaquée - pour la plus grande joie d'un concurrent, par exemple - voire prendre le contrôle de ses équipements. Quitte à représenter un véritable danger, puisqu'ils pourraient ainsi faire dérailler un train, prendre le contrôle d'une voiture autonome, polluer l'approvisionnement d'une ville en eau ou faire sauter une raffinerie. Sans en arriver à de telles extrémités, les cybercriminels font de plus en plus chanter leurs victimes en s'introduisant dans leurs ordinateurs pour les bloquer ou en crypter le contenu. Et là, ce ne sont pas seulement des entreprises, mais aussi des particuliers, qui sont victimes de ces ransomwares», et qui ne peuvent espérer récupérer leurs données qu'en payant une rançon.
En2018, l'Université a renforcé la sécurité en créant un état-major directement rattaché à la Direction administrative et en introduisant un nouveau poste de responsable santé et sécurité. Trois mois après sa mise en place en mars 2018, le Rectorat validait le nouveau concept de sécurité qui est à présent en ligne dans l'Intranet.
URIAGE S’ENGAGE ET PARTICIPE A L’APPEL DE FONDS D’URGENCE COVID 19 de l’AP-HP Uriage s’engage auprès de la Fondation de l’AP-HP Assistance Publique - Hôpitaux de Paris en répondant positivement à l’appel de soutien exceptionnel pour soutenir le personnel soignant et aider à faire avancer la recherche. En plus d’une donation, Les Laboratoires Dermatologiques d’Uriage s’engagent à reverser 2€ au fonds d’Urgence CORONAVIRUS COVID-19, pour chaque commande passée sur la e-boutique en avril. Pour en savoir plus sur le Fonds d’Urgence cliquez ici URIAGE SOUTIENT LE PERSONNEL SOIGNANT AU QUOTIDIEN Notre équipe de production à Échirolles a de façon exceptionnelle produit du gel hydroalcoolique envoyé auprès des différentes institutions qui en ont le plus besoin. Toutes les équipes d’Uriage se sont mobilisées pour soutenir les CHUs, les cliniques, les EPHADs, les cabinets médicaux, les infirmières à domicile, les sages-femmes, les pharmaciens et les associations de soins à domicile en leur mettant à disposition des produits d’hygiène et des crèmes isolantes réparatrices pour les aider dans leur quotidien. Tous les jours, notre Cheffe s’affaire dans les cuisines du grand hôtel d’Uriage pour préparer avec grand soin des repas en bocaux pour les équipes de production et de conditionnement ainsi que pour le personnel soignant du CHU de Grenoble. ON VA S’EN SORTIR, SANS SORTIR Afin de respecter le confinement, la majorité des équipes des Laboratoires Dermatologiques d’Uriage qui ne sont pas sur le terrain sont en télétravail. Nous restons proches de vous et à votre écoute pendant toute cette période difficile. N’hésitez pas à nous contacter pour toutes questions.

Lasécurité est l'affaire de tous, il est important que les collaborateurs soient des acteurs responsables, en veillant à leur propre sécurité et à celles des autres. Veiligheid is een zaak van iedereen en het is belangrijk dat de werknemers deze verantwoordelijkheid voelen om voor hun eigen veiligheid en die van anderen te zorgen.

, Région du [...] Golfe, vient rappeler aux pêcheurs que la sécurité est l'affaire de tous. , Gulf Region, wishes to remind fishers that safety is everyone's business. La sécurité est l'affaire de tous, avec des intérêts et des responsabilités [...]partagés. Security concerns everyone; it is a matter of shared interests [...]and shared responsibilities. La sécurité c'est l'affaire de tous, depuis l'entrepreneur [...]qui travaille sur le chantier jusqu'à l'employé en poste dans [...]les bureaux de la pipelinière. From the contractor working in the field to the pipeline [...]company employees in a downtown office tower, safety is everyone's responsibility. Pour Mobilegov, la sécurité est l'affaire de tous les prestataires de service [...] tout utilisateur d'un service sécurisé doit être [...]authentifié à la fois par ce qu'il connaît son code PIN et par ce qu'il possède un objet matériel. To Mobilegov, security is every service providers' business each secured service [...]user need to be authentified by what he knows [...]its PIN code and by what he holds a piece of hardware. La sécurité est l'affaire de Implementing a security Enfin, une nouvelle campagne d'affichage est [...] déployée dans l'ensemble du [...] Groupe pour interpeler et sensibiliser les équipes, en rappelant que la sécurité est l'affaire de tous. Finally, a new poster campaign is rolled out [...] group-wide to raise awareness among our teams, reminding them that safety is everybody's concern. De même, les responsabilités en ce qui concerne [...] la sécurité ont été définies [...] à tous les niveaux de la société pour nous assurer que la sécurité soit l'affaire de tous. Also, safety responsibilities have been set from [...] the top down to make sure that, throughout the whole company, safety is everyone's business. La sécurité est l'affaire de tous. Safety is everyone's business. Selon nous, chaque personne a des responsabilités différentes, mais la sécurité est l'affaire de tous et chacun. From our standpoint, each person has different responsibilities, but safety is everyone's responsibility. arce que la sécurité est l'affaire de tous et parce que [...]le respect de règles d'hygiène strictes est un préalable à toute [...]activité agroalimentaire, le Groupe Doux travaille en permanence à l'amélioration des conditions d'hygiène et de sécurité dans l'entreprise et à la formation et la sensibilisation de ses salariés. ince safety is everybody's business and since compliance [...]with strict hygiene rules is a precondition for any agrifood activity, [...]the Groupe Doux is constantly working to improve health and safety conditions within the company, while training up its employees and raising their awareness. La sécurité est l'affaire de tous police, autorités, associations, acteurs du secteur privé mais aussi [...]des citoyens. Everybody [...] must get involved in security police, authorities, associations, private sector and, of course, the citizens. La sécurité est l'affaire de tous et c'est en travaillant [...]en équipe que nous pourrons changer les choses et améliorer la [...]sécurité des gens que nous soignons. Safety belongs to all of us and only through a [...]team approach will we make any impact on the lives of those for whom we care. La sécurité, c'est l'affaire de tous à l'Halloween! Safety on Halloween - Not Just Kids' Stuff, Halifax, Parce que la sécurité est l'affaire de tous, ces conventions seront généralisées à l'ensemble des sites du Groupe [...]Doux en France d'ici à la fin de l'année 2009. Since safety is something which concerns everyone, these agreements will be rolled out over all the Doux Sites [...]in France between now and the end of 2009. Comme la Qualité, la Sécurité est l'affaire de Safety like Quality is everybody's responsibility Prenez en charge votre sécurité [...] et celles de vos collègues de travail, la sécurité est l'affaire de tous ! Take charge of your safety and those of your colleagues, safety concerns all us! DJL prône la sécurité de ses méthodes de travail et le [...] développement d'attitudes qui préservent un milieu sûr et efficace. [...] La santé et et la sécurité, c'est l'affaire de tous. Construction DJL promotes health and safety in her [...] operating procedures and through the development of attitudes that [...] promote the maintenance of a safe and efficient workplace. La sécurité est l'affaire de tous. Security is the responsibility of everyone. La sécurité est l'affaire de tous les jours et [...]engage la responsabilité de tous. Safety is a permanent concern and involves everybody's [...]responsibility. Accueil > [...] Nouvelle-Écosse > Salles des nouvelles > La sécurité, c'est l'affaire de tous à l'Halloween! Home > Nova Scotia > Newsroom > Safety on Halloween - Not Just Kids' Stuff, Halifax, L'environnement et la sécurité, c'est l'affaire de tous ! Environment and safety are everyone's business ! La campagne s'adresse directement aux PME en [...] leur délivrant un message fort [...] La santé et la sécurité sont l'affaire de tous. Elles sont importantes [...]pour vous et votre entreprise! It's good for you and good for business! L'Union européenne considère que la sécurité nucléaire est l'affaire de tous, et pas seulement des États dotés des plus [...]grands programmes nucléaires. The European Union believes that nuclear security is a matter of concern for all States and is not limited to those with [...]large nuclear programmes. La sécurité des piscines est l'affaire de tous, notamment les [...]consommateurs, les fabricants, les propriétaires et les installateurs, [...]les sociétés de maintenance et les responsables de la santé publique. Pool safety is a responsibility shared by many, including consumers, [...]manufacturers, owners and installers, maintenance companies, and public health officials. À Turbomeca, la sécurité et la protection de l'environnement sont l'affaire de tous et constituent [...]une véritable source de progrès. Their sound management is a real source of progress for Turbomeca, emphasising the values it upholds as [...]a corporate citizen. Selon lui, la crise mondiale de l'emploi est l'une des plus grandes menaces pour notre sécurité aujourd'hui et doit être l'affaire de tous. According to him, the international labour crisis is one of the greatest current security threats and should be everybody's business. La sécurité de l'information n'est donc plus le fief exclusif des services de renseignements et de sécurité, mais bien l'affaire de tous. Consequently, information security is no longer the sole preserve of intelligence and security services, but is everyone's business. Nous avons une législation, et je pense qu'elle [...] est bonne, mais la sécurité, Monsieur le Président, est une affaire de personnes, en [...]mer aussi. We have legislation - and I [...] believe we have laid down sound legislation - but safety, including at sea, is man-made. La vérité, c'est que le premier [...] ministre a manqué de jugement dès le [...] départ en tentant de minimiser toute l'affaire alors que la sécurité d'État était en jeu. The truth is that the Prime Minister showed a lack of judgment from the [...] very beginning by seeking to downplay the matter when national security was at issue. Il n'est pas nécessaire d'imposer des tests de sécurité supplémentaires pour tous les additifs alimentaires, mais il faut garder en mémoire cette affaire lorsqu'il s'agit de la sécurité des additifs [...]alimentaires. Not all food additives may need to pass the extra safety tests, but this case must be considered when regulating food additive safety.
Lacyber sécurité est l’affaire de tous Signaler ce post Sebastien J. Sebastien J. Executive Security Advisor chez IBM Publié le 9 juin 2017 + Suivre L’attaque massive via le ransomware WannaCry a continué de mettre la lumière un phénomène de fond en matière de cyber sécurité : les failles existent, le risque zéro non et nous sommes tous des cibles
Les récents épisodes de hackage » de bases de données soit à des fins de remise de rançon, soit à des fins de piratage de fichiers d’entreprises, nous rappellent régulièrement que la donnée qui est au cœur des systèmes d’information est une valeur qu’il faut préserver. Jeanne Bossi-Malafosse, associée du cabinet Delsol Avocats. La sécurité est aujourd’hui au centre de la protection des données personnelles, et l’application prochaine, le 25 mai 2018 exactement, du nouveau Règlement européen sur la protection des données personnelles qui renforce les droits des citoyens sur leurs données, accentue les obligations en matière de sécurité des responsables de traitement. Au sein des entreprises et des organisations, la sécurité doit être un processus collectif et collaboratif défini sous la responsabilité des dirigeants et associant tous les acteurs. Le sujet de la sécurité des données à caractère personnel ne doit plus rester cantonné au seul étage de la direction des systèmes d’information. Le Règlement européen offre à cet effet de nouveaux outils pour gérer la politique de sécurité. Ainsi, à partir de la réalisation d’une analyse de risques appliquée aux traitements préalablement répertoriés, le responsable de traitement devra réaliser une étude d’impact lui permettant de mettre en place les mesures techniques et organisationnelles de nature en particulier à préserver la sécurité des données. Pour déterminer ces mesures adéquates, il doit être tenu compte de la nature particulière des données faisant l’objet du traitement et des risques présentés par la destruction, perte, altération ou divulgation éventuelle de celle-ci. L’adoption de codes de conduites ou de certifications propres à chaque secteur permettra d’aider le responsable de traitement à identifier ces mesures. Le règlement consacre également une place particulière à l’existence de garanties appropriées telles que le chiffrement ou la pseudonymisation comme participant à la sécurité des applications. Mais au-delà de ces dispositions, la sécurité reste avant tout l’affaire de chaque utilisateur et il convient d’appliquer certaines mesures de sécurité physique et logique désormais classiques – mais encore insuffisamment mises en œuvre. Peuvent être cités par exemple, les moyens d’identification et d’authentification qui incluent la définition d’une politique de gestion des mots de passe dynamique conformité aux règles posées par la CNIL pour leur composition[1], changements réguliers etc…, la gestion des habilitations de chaque utilisateur et son corollaire indispensable, le contrôle régulier de la traçabilité des accès, la sécurisation physique et logique des postes de travail locaux fermés et/ surveillés, pare-feux, antivirus et, pour les outils mobiles, chiffrement des données lors de leur transfert vers un système d’information, l’encadrement des activités de sous-traitance et en particulier de maintenance sur les systèmes, la définition d’une politique de sauvegarde assurant la restitution intègre des données. Telles sont quelques unes des mesures à mettre en œuvre dont l’effectivité permettraient de réduire de façon conséquente les risques d’intrusion. Notons également que le Règlement européen imposera demain au responsable de traitement de notifier l’existence d’une violation des données à caractère personnel à l’autorité de contrôle compétente dans les meilleurs délais et au plus tard 72 heures après en avoir pris connaissance. La sécurité des données, c’est aussi le respect des droits de la personne et la maîtrise qu’elle peut avoir de l’utilisation de ses données notion d’empowerment. Les individus restent les premiers concernés par la sécurité de leurs données soit à titre individuel, soit en tant que salarié ou employé au sein de l’organisation dans laquelle ils travaillent. Ils sont souvent les principaux acteurs de la sécurité de leurs données et surtout de l’effectivité de sa mise en œuvre quotidienne. Mais l’information sur ce qu’il est possible de faire ou de ne pas faire est souvent pour eux encore parcellaire ou inégale. Ainsi, au moment de partager ses données, l’utilisateur doit au préalable être informé et le consentement – lorsqu’il est exigé – ne doit être que l’aboutissement de cette information. Par exemple, s’agissant de l’utilisation et de l’analyse des données de navigation via les cookies, notamment à des fins de publicité comportementale, les utilisateurs doivent pouvoir contrôler l’utilisation qui est faite de leurs données de navigation sur internet en modifiant les paramètres de leur navigateur. La CNIL vient à cet égard dans sa récente délibération du 27 avril 2017, sanctionnant la société Facebook, de rappeler avec force les obligations des émetteurs de cookies ou de ceux qui utilisent l’information collectée par ce biais[2]. Le respect des droits d’accès et de communication, le nouveau droit à la portabilité des données inscrit dans le Règlement européen, sont autant d’obligations à la charge des responsables de traitement qui ne seront en mesure d’en garantir l’effectivité qu’en s’appuyant sur une politique de sécurité solide. Gageons que les nouvelles sanctions considérablement accrues par le texte européen, notamment en cas de rupture de confidentialité, constitueront une forte incitation pour les acteurs à faire du security by design. [1] Délibération n° 2017-012 du 19 janvier 2017 portant adoption d’une recommandation relative aux mots de passe [2] Délibération de la formation restreinte SAN –2017-006 du 27 Avril 2017 prononçant une sanction pécuniaire à l’encontre des sociétés FACEBOOK INC. et FACEBOOK IRELAND
La sécurité c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre", a-t-il rappelé après avoir rencontré les policiers, gendarmes, agents de la sûreté de la SNCF et de la RATP. La suite après la publicité "Les défis sont immenses mais le gouvernement, les forces de l'ordre, l'ensemble des opérateurs sont extrêmement
Ali Kahlane plaide pour "La prise en compte de la cyber sécurité par l'ensemble des acteurs, au niveau de chaque continent, de chaque État, de chaque institution, de chaque entreprise, de chaque citoyen. "A travers le monde, pas une seule entreprise n’est à l’abri d’une cyber-attaque. En quoi consiste cette menace ?Une cyberattaque est un acte de malveillance qui peut cibler différents dispositifs informatiques. Cela peut être des ordinateurs, des serveurs ou toute intelligence matérielle et numérique tels que les smartphones ou tout objet connecté à Internet ou pas d’ailleurs. Il existe en fait quatre types de risques ou menaces la cybercriminalité, la déstabilisation, l’espionnage et le sabotage. Ces cyber risques affectent directement ou indirectement aussi bien les particuliers que les administrations et les et son pendant visible, le World Wide Web qui a beaucoup évolué au fil des ans, n’est plus le gentil réseau que l’on connaissait à ses débuts. Très vite de nombreux méchants personnages ont joué sur ses vulnérabilités pour attaquer les ordinateurs et tout ce qui s’y connecte. Dans un premier temps c’était surtout pour récupérer des données sensibles auprès d’utilisateurs imprudents, c’était la plus commune des menaces. Dans la plupart du temps, tout cela se faisait sans que la victime s’en rende compte, jusqu'à ce qu'il soit trop tard. Mais ça c’était avant. 60% des problèmes de cybersécurité dans l'entreprise, dans le monde viennent de l'intérieurComment ces pirates de l’informatique arrivent-ils à s’infiltrer aussi facilement dans l’entreprise via le net?L’Internet est un endroit fantastique pour communiquer pour s’informer ainsi que pour travailler. C’est l’une des innovations humaines qui a le plus radicalement changé jusqu’à notre façon de vivre. La quasi totalité de la population mondiale s’y connecte. Sur les 7,76 milliards d'humains sur Terre en 2020, près de 61% utilisent Internet alors que 65% d’entre eux possèdent un téléphone un an, le nombre d'utilisateurs du web s'est accru de près de 10 %, tandis que la population mondiale n'a progressé que de 1 %. Les réseaux sociaux ont eux aussi vu leur public s'accroître et comptent plus de 3,8 milliards d'adeptes, soit 49 % de l'humanité, dont plus de 50% y est connecté nuit et jour. L’Algérie n’est pas en reste avec ces plus plus de 26 millions de connectés à Internet 59% de la population dont 22 millions utilisent les réseaux sociaux avec 95% sur de connectés à Internet et d’utilisateurs actifs sur les réseaux sociaux est un terrain propice pour tous les maliciels qui grouillent dans le cyber espace tel un capharnaüm de germes et de bactéries infectieux, numériques. Tout cela rend tout ordinateur ou dispositif connecté vulnérable. L’entreprise, encore plus que tout le reste à cause des dégâts que cela peut occasionner en très peu de temps et à moindre coût. Nous savons que 60% des problèmes de cybersécurité dans l’entreprise, dans le monde viennent de l’intérieur. Aucun appareil, aucune entreprise n'est à l'abri!En Algérie, cela peut dépasser les 80%. Cette différence de taux est dû au peu de sensibilisation des utilisateurs aux risques qu’ils comportent, à la méconnaissance ou à la non utilisation des outils de protection et de précaution aussi bien actifs que passifs. Mais pas que car, paradoxalement, l’instabilité de notre connexion, la faiblesse du débit internet associées au peu de numérisation des entreprises algériennes concourent à l’augmentation des cyberattaques et exacerbent la vulnérabilité de nos entreprises, qui ne sont pas ou très peu protégés face aux maliciels de tout bord. Les menaces de cyberattaques sont réelles et de plus en plus dangereuses, causant de grands peut aller du fait des employés indélicats ou imprudents dont la négligence est exploitée pour subtiliser des codes d’accès et compromettre des données ou des systèmes d’informations jusqu’aux attaques en bonne et due forme qui seraient effectuées par des professionnels pour eux-mêmes ou pour le compte de quelqu’un qui les rétribuent pour se sont les types de menaces auxquelles nous sommes confrontés Il existe de nombreuses menaces malveillantes pouvant se déclencher ou s’installer à tout moment et dans toutes les situations. Pour faire simple, on peut identifier au moins une dizaine de types menaces de cyberattaques pouvant être utilisées soit par des personnes réelles soit par des robots ou bots ou la combinaison des Algérie, ces actes de malveillance trouvent un terrain propice dans la méconnaissance du danger et le peu de sensibilisation ds utilisateurs, ajoutés à l'instabilité récurrente du réseau InternetEn Algérie, ces actes de malveillance trouvent un terrain propice dans la méconnaissance du danger et le peu de sensibilisation ds utilisateurs, ajoutés à l'instabilité récurrente du réseau InternetCes menaces sont les spams, Advertisement et Software ou publiciel, le cheval de Troie, les virus, les vers, le phishing ou hameçonnage, les logiciels espions ou spyware, les keyloggers ou encore KeyGrapbber, le pharming et, enfin le logiciel de sécurité de type Escroc ou Rogue security software Chacune de ces menaces est expliquée en détail dans un encarté.En Algérie l’entreprise est-elle outillée pour répondre à ces attaques? Y a-t-il une compréhension du risque par le chef d’ Loi n° 18-07 du 10 juin 2018 relative à la protection des personnes physiques dans le traitement des données à caractère personnel qui a été promulguée le 20 janvier 2020, complète et renforce l’arsenal juridique qui existait jusqu’à présent pour encadrer le domaine numérique et ses environnements. C’est un bon début pour mettre de l’ordre et mieux protéger le cyberespace ailleurs, nous devons reconnaître une carence manifeste de statistiques sur les dommages qu’occasionnent les cyber attaques et les maliciels d’une manière générale dans notre pays. Le manque d’implication de l’Etat dans la sensibilisation à la cybersécurité et surtout l’absence d’une politique nationale de cybersécurité rend toute analyse difficile. Il appartient maintenant aux institutions interpellés dans cette Loi de passer à l’action pour mettre en place les dispositions et dispositifs prévus. Notamment l’installation de celui relatif à la sécurité des systèmes d’information qui prévoit notamment l'élaboration d'une stratégie nationale en matière de sécurité des Systèmes d'information, incluant des investigations numériques en cas d'attaques cybernétiques ciblant les institutions nationales y compris les entreprises privés et publiques. Sans oublier la mise en opération le plus rapidement possible de l’Autorité nationale de protection des données personnelles. Des outils dont l’Algérie avait énormément besoin pour mieux protéger et promouvoir son économie numérique une demande en la matière de la part du chef d’entreprise algérienne? De même les compagnies d’assurance proposent-elles ce produit?Il faut poser la question à un professionnel des Assurances pour la deuxième partie de votre question. Par contre je peux dire que la confiance et la cybersécurité sont les deux piliers de l'entreprise de demain. Nous sommes dans une économie mondialisée, il est important de souligner que tout au long de l'histoire économique, c'est bien la confiance qui a contribué à favoriser l'éclosion de l'économie marchande. C'est donc la prise en compte de la cybersécurité par l'ensemble des acteurs - au niveau de chaque continent, de chaque État, de chaque institution, de chaque entreprise, de chaque citoyen - qui assurera l'émergence de l’économie numérique au niveau d’un pays. L’Algérie n’a jamais été aussi proche d’une bonne fenêtre de tir pour réussir sa transition recueillis par Meriem Chibane de la revue CNAPublié la première fois par la Revue du Conseil National des Assurances CNA, dans son dossier Cyber-Assurances, Page 18-21, mars 2020.
JPXc.